Nicolas Massenet nous partage son quotidien de technico-commercial chez CIPAC Industrie, un poste qu’il occupe depuis 4 ans.

Nicolas, pouvez-vous nous expliquer votre métier ?

Ce métier consiste, à mon sens, à accompagner et conseiller l’ensemble des clients qui nous sollicitent, dans la création, le développement ou l’optimisation de la logistique de leur structure en proposant du matériel de manutention : chariot élévateurs, nacelles, gerbeur, etc.

Mon quotidien n’est jamais le même et englobe une multitude de tâches comme la prospection, la veille concurrentielle, la réalisation des configurations machines, des études de prix et du matériel à mettre en stock en collaboration avec ma direction, l’établissement de devis, les relances téléphoniques, l’entretien de la relation client, de l’administratif et j’en passe… c’est passionnant et stimulant !

Quel a été votre parcours pour accéder à ce poste ?

J’ai passé mon BTS NRC (Négociation et Relation Clients) en alternance à la CCI où j’ai travaillé durant 1 an chez Stadium et 1 an chez Otodis en tant que vendeur.

Ensuite j’ai commencé à la banque via la BNC en 2012 et durant 5 ans jusqu’à fin 2017 où j’ai pu occuper plusieurs postes : accueil, plateforme téléphonique, commercial, logistique.

Puis J’ai répondu à une demande de CIPAC Industrie qui avait besoin d’un commercial dans ce secteur et voilà 4 ans ½ que j’occupe ce poste aujourd’hui.

Quelles sont les compétences phares à maitriser ?

A mon sens je dirais de l’écoute, de la réactivité, un bon relationnel client, de la patience et une bonne connaissance de son marché.

Qu’aimez-vous le plus dans votre métier ?

Le contact avec le client et le fait qu’étant dans le secteur de la manutention, j’ai la chance de visiter l’ensemble des coulisses des entreprises (docks, installations, etc.) . J’échange avec beaucoup de personnes de secteur très divers et variés, ce qui est intellectuellement très enrichissant.

Auriez-vous une anecdote à nous partager ?

Récemment j’ai vu un produit concurrent sur le bord de la route en train de travailler. Je me suis arrêté pour savoir à qui appartenait cette machine. J’ai contacté l’entreprise en question qui a toujours acheté chez notre concurrent, et après environ 6 mois d’échanges divers, nous avons signé et avons livré cette machine la semaine dernière chez lui.